maryann ϟ « will you believe in me? » (ended.)

© crédit
jena maryann "ryan" williams

williams ✩ jena maryann, surnommée ryan par la majorité de son entourage ✩ vingt-quatre ans ✩ américaines et anglaises ✩ célibataire ✩ étudiante en psychologie ✩ rachel bilson

CLOSE ENOUGH TO START A WAR.

J'ai un prénom, mais il est drôlement moche, alors on va dire que je m'appelle seulement Marie, parce que le Machin qui vient après, bah je l'aime pas. J'ai dix-huit ans depuis même pas trois semaines et j'aime abuser de mon statut de personne majeure, héhé. Je sais pas trop quoi dire de ma personne. Je suis addicted à tumblr, Tom Welling, Chuck (l'émission là, pas le moche de GG ) , et toutes mes émissions clichées tel que 90210, Gossip Girl, One Tree Hill et plusieurs autres. J'ai l'air un peu no-life comme ça, mais c'est moins pire que ça en à l'air, j'le jure. (a)

ALL THE THINGS YOU'VE SAID.

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Le silence de le pièce me fait peur. J’ai toujours détesté le silence, quel qu’il soit. Je suis pas le genre de filles qui s’accommode bien au vide, à cet absence de mots, à cet absence de contact. Je suis toute seule dans ma chambre, mais je déteste le silence qui y règne. Je suis toute seule, et je déteste ça. Mon frère est parti tôt ce matin travailler, comme il le fait toujours et mes parents sont toujours manquants de leur dernier voyage en amoureux, encore une fois, ça n’a rien de bien surprenant. Mes parents avaient toujours voulu profiter de leur vie de couple autant que de leur vie de famille, alors il n’était pas rare depuis que mon frère avait l’âge de s’occuper de moi qu’ils s’offraient des voyages en amoureux. Et c’était devenu encore plus fréquent depuis que j’avais l’âge de m’occuper de moi-même seule, comme une grande. Du haut de mes seize ans, je n’étais pas une fille très populaire au lycée, non pas que j’aurais voulu l’être particulièrement. J’étais de ce genre de filles qui n’aimaient pas énormément se faire remarquer, mystérieuse dans son genre, mais gentille avec les autres quand on s’ose à m’approcher. Je ne voulais pas l’attention sur moi, je ne l’avais jamais voulu. Je préférais de loin me retrouver avec ses quelques gens que je connaissais par coeur que de me retrouver entourée d’une vingtaine d’amies que je ne connaissais pas à moitié. Allongée dans mon lit, j’avais mis mes écouteurs sur mes oreilles, brisant le silence de la pièce, ce silence maudit qui m’effraie tellement. Je me penche légèrement au dessus de mon lit pour atteindre de mes mains le plancher et c’est aveuglement que je cherche pour ce livre de souvenirs que je cache sous mon lit. Ces souvenirs, mon enfance, ma vie en quelques pages, en plusieurs photos, quelques mots gribouillés ici et là. Je me rassois confortablement, livre en main alors que je feuillette les pages, sans m’attarder particulièrement sur mon visage qui grandit avec les jours, les mois et les années. Je remarque une tête blonde qui prend souvent place sur les photos avec moi, une tête qui m’est plus que familière, des traits que je connais par coeur. Je souris bêtement quand je remarque à quel point cette tête est une partie primordiale à mon enfance. « Jayce & Maryann; meilleurs amis pour la vie. » Je remarque mon écriture de petite fille à côté de la photo et je souris bêtement quand je pense qu’aujourd’hui, c’est encore le cas. Jayce et moi, c’est une histoire qui date depuis toujours. Je pourrais pas faire comme dans les films et raconter notre première rencontre, parce qu’à l’âge que j’avais, on ne se souvient de rien. L’âge des couches-culottes, l’âge où les mots sont pas important, l’âge où un sourire veut tout dire. Je tourne encore quelques pages, on grandit ensemble, main dans la main sur plusieurs photos. Les gamins de l’entourage nous ont souvent pris pour un couple, mais Jayce et moi, on sait que c’est pas le cas. J’peux tout lui dire, j’lui ferais confiance avec ma vie, mais notre amitié m’est beaucoup trop chère pour imaginer plus, pour voir plus loin. Je tourne les pages encore un peu, m’arrête sur une photo. Sur une photo qui avait créer un doute, des papillons au fond de mon ventre. Ça remonte à il y a deux ans, deux années qui ont passé si rapidement j’ai l’impression. Le bal de la rentrée, une soirée stupide à mon avis. Mais toujours une bonne soirée à passer avec son meilleur ami.

Flash-Back

« Laisse-moi tranquille Bryce! » J’avais soupiré longuement alors que le jeune garçon roux avait continué de me suivre, malgré mes nombreuses protestations. Il s’intéressait à moi, et moi je ne voulais rien savoir. Non pas que ce n’était pas un gentil garçon ou quoique ce soit, seulement je ne voulais pas de copain. Pas à mon âge, pas avec les garçons qui fréquentaient l’école, je le savais. On le disait souvent, j’étais trop mature pour mon âge, j’étais différente. Je m’étais dirigée rapidement vers Jayce qui parlait avec une de ses amis et discrètement, je l’avais attrapé par le bras, lui suppliant des yeux de m’accorder quelques secondes. Il n’avait pas mis longtemps avant de comprendre le message et s’était excusé auprès de son amie alors que je l’apportais déjà dans un coin reculé du gymnase où se trouvait le bal, un endroit où j’avais espoir que Bryce ne nous retrouverait pas de sitôt. Mais le temps était limité, je le savais. « Il faut que tu m’aides! » « Qu’est-ce qui se passe? » Il avait l’air exaspéré, probablement parce que je l’avais coupé dans sa conversation et que je n’avais pas l’air véritablement en danger, mais d’une certaine façon, c’était lui seul qui pouvait me sauver. « C’est Bryce. Il arrête pas de me suivre partout. Il veut qu’on danse, mais je veux pas danser avec lui. Il pense que je m’intéresse à lui! » Le sourire qui était né sur le sourire de Jayce n’annonçait absolument rien de bon, et je savais pertinemment qu’il allait se moquer de moi. J’imagine que c’était le prix à payer pour qu’il accepte de m’aider. Son rire avait raisonner de mes oreilles alors que je l’avais regardé avec mes yeux méchants, même si je savais très bien que ça n’aurait aucun impact sur le garçon. « Arrête de te moquer et aide-moi Jayce! » « Allez, viens trouillarde. » Il avait attrapé ma main et m’avait apporté sur ce qui définissait la « piste de danse », au milieu du gymnase. Je protestais, mais il n’y avait rien à faire, Jayce ne voulait tout simplement pas lâcher ma main. « J’ai un plan, alors danse avec moi. » Je lui avais fais une grimace et alors que la musique était entrainante quelques secondes auparavant, il avait bien évidemment fallut qu’elle se change en un slow au moment même où mon meilleur ami m’invitait pour une danse. Mon coeur s’était énervée dans ma poitrine alors qu’il m’offrait sa main, comme si de rien n’était. J’avais été hésitante, et apercevant Bryce au fond de la salle, je m’étais dis que je n’avais rien à perdre. Je m’étais rapprochée de lui, ma main s’entremêlant dans la sienne alors que mon autre main passait derrière son épaule et que la sienne venait encadrer ma taille. Un sourire habitait son visage alors que mes yeux pétillaient d’une excitation que je ne me connaissais pas. Comment ça se faisait que j’étais si énervée de danser avec Jayce, soudainement? J’avais vu au loin que Bryce m’avait remarqué et se dirigeait rapidement, trop rapidement vers moi. « Il arrive, merde! » Et comme ça, sans prévenir, le visage de Jayce s’était rapproché du mien et ses lèvres s’étaient posées sur les miennes. Mon premier baiser, notre premier baiser. Et mon coeur s’était mis à battre encore plus vite dans ma cage thoracique alors que je n’étais même pas capable de me demander pourquoi est-ce qu’il avait fait ça. Et aussi vite que le baiser avait commencé, j’avais senti le visage de mon meilleur ami se reculer alors que déjà, Bryce reculait, probablement déçu de s’être fait devancé. « Ton problème est réglé Ryan. Tu m’en dois une. » Son sourire était resté sur ses lèvres alors qu’un état de choc habitait mon visage. Cette soirée là, j’ai eu des doutes sur mes sentiments pour le jeune homme. Des doutes sur ses sentiments pour moi aussi. Pourquoi je m’étais emballée quand il m’avait offert de danser et pourquoi il s’était décidé de m’embrasser. Mais au final, tout s’était réglé tout simplement. Parce qu’il était mon meilleur ami et que jamais pour un simple baiser j’aurais tout risquer. Il comptait tout simplement trop à mes yeux pour que des sentiments aussi stupide que l’amour se mette entre nous. On savait tous les deux ce que s’était, déjà à cet âge-là. L’amour, ça finissait jamais bien. Surtout pas pour des amis. Alors on avait décidé de faire comme si de rien n’était. C’était une faveur qu’il m’avait fait et en même temps, nous étions contents tous les deux que notre premier baiser soit ensemble, même s’il ne voulait rien dire. Ouais, meilleurs amis jusqu’au bout, c’est ce qu’on s’était dit.

Fin du flash-back.

« Tu te sens nostalgique? » Pendant un court instant, mon coeur avait arrêté de battre alors que j’avais finalement remarqué la présence de mon dit meilleur ami à la fenêtre. « Mais t’es complètement malade! » Mon coeur avait recommencé à battre, drôlement rapidement alors que le rire stupide de Jayce entrait dans ma chambre et qu’à son tour, il avait contourné ma fenêtre pour finalement prendre place, les deux pieds sur mon plancher. « Et prendre la porte comme tout le monde, ça te tentait pas? » « J’ai cogné, mais tu m’as pas entendu. T’étais probablement trop absorbée à te souvenir de notre premier baiser. » Comme un con, il m’avait fait des yeux charmeurs alors que je lui avais fais une grimace, fermant le gros livre qui contenait tous nos souvenirs. C’était tellement simple avec lui que même remettre un tel souvenir sur la table ne créait aucun malaise. Nous étions proches, si proches que ça aurait dû être interdit de faire confiance à quelqu’un à ce point-là. On se connaissait par coeur, nous savions tout l’un de l’autre, aucune cachette, aucun secret. « Je me rappeleais seulement comment t’embrassais pas très bien à l’époque, j’espère que tu t’es amélioré depuis. » C’était à mon tour de lui faire les yeux charmeurs alors qu’il s’était déjà rué sur moi, prêt à me faire payer par des chatouillements l’insulte que je venais de lui dire. Simple, probablement trop simple. Mais c’est comme ça que j’aimais ma relation avec Jayce. Fusionnels. Indispensable. Inséparables. Il était mon tout, et j’étais celle qui le complétait, d’une certaine manière.

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« Maryann, j’ai besoin de ton aide. » Je savais que le fait que mon téléphone sonne à trois heures et demi du matin, ça n’avait absolument rien de bon. Pire encore, je savais que la voix pleine de pitié de Logan n’annonçait rien de bon. Et pourtant, je m’étais levée de mon lit, comme je le faisais chaque fois et je m’étais dirigée vers la station de police avec beaucoup de réticence. J’avais l’impression d’être une habituée de l’endroit tellement il était fréquent que je doive y faire acte de présence, pour le sortir lui de la merde. Une bagarre, j’espérais que ce n’était simplement qu’une bagarre. J’en étais rendue au point où chaque visite était pénible, surprenante, dans le mauvais sens du terme. J’avais peur parce que chaque fois, ça pouvait être pire. Chaque fois, ça devenait de plus en plus dangereux, et chaque fois, j’arrivais de moins en moins à le supporter. J’avais poussé la lourde porte qui menait au secrétariat et j’avais reconnu le policier qui était de garde cette nuit-là. « Bonsoir Agent Walker. » « Bonsoir Maryann. J’vais avoir besoin de la caution pour pouvoir le laisser sortir. » « Qu’est-ce qu’il a fait? » « Conduite en état d’ébriété. On a réussi à l’arrêter avant qu’il ne cause un accident. » J’avais soupiré, retenant une fois de plus les larmes de me monter aux yeux et inconsciemment, j’avais sorti l’argent de mon porte-monnaie comme je le faisais chaque fois. Parce que je ne supportais pas l’idée de le laisser passer la nuit ici, pas capable de me faire à l’idée que le Logan qui allait me faire face n’était plus le garçon dont j’étais tombée amoureuse plusieurs mois auparavant. J’avais placé l’argent sur le comptoir, offrant un sourire gêné à l’agent me faisant face et j’avais remarqué la déception dans ses yeux. Il ne comprenait pas pourquoi je m’attardais autant à un cas qui semblait aussi désespéré que celui de mon petit ami. Mais il ne comprenait pas, il ne comprenait tout simplement pas combien j’étais amoureuse de lui. Aveuglement amoureuse. Prête à en crever, tellement que ça en était désolant. L’agent avait disparu, momentanément alors qu’à son retour, j’avais pu apercevoir la silhouette de Logan qui le suivait, l’air piteux sur son visage ne marchant seulement qu’à moitié avec l’état de colère dans lequel j’étais. Je ne m’étais même pas attardée sur le jeune homme que déjà, je sortais de cet endroit qui me donnait des hauts le coeur. Je savais qu’il me suivrait, il me suivait toujours. « J’suis désolée Ryan, j’ai merdé et je sais que t’aime pas devoir t’occupé de moi comme ça, mais c’est.. C’est la dernière fois j’te le jure. » « La ferme, Logan. » Mon ton était sec, précis. J’voulais pas entendre son discours, pas une fois de plus, je ne pouvais pas le supporter. Sa main avait agrippé durement mon bras, me forçant à me retourner vers lui pour le regarder et j’avais donné un coup pour échapper de son emprise. « Ne me touche pas. » Les mots avaient été dit entre mes dents alors que j’évitais toujours de le regarder. J’aurais voulu être ailleurs, ne pas vivre ce moment une fois de plus. J’en avais assez. Je voulais que quelqu’un me sorte de ce cauchemar, je voulais que ça arrête. Je n’étais pas assez forte, je ne pouvais plus. « Ryan, s’te plait.. » « C’est terminé Logan. J’peux pas. » Je m’étais retournée et j’avais marché rapidement, mais je savais que ça ne serait pas suffisant. Il reviendrait, il n’accepterait pas ma décision, pourtant, je savais que je ne pouvais pas faire autrement. Il me détruisait, depuis tellement longtemps, je ne pouvais pas rester près de lui plus longtemps. « Tu fais une grave erreur Maryann! Tu peux pas vivre sans moi, tu le sais! Tu vas revenir vers moi et me supplier de te reprendre! Je le sais, toi aussi tu le sais! Tu m’aimes trop, je te suis indispensable. » J’avais bouché mes oreilles, courant de plus en plus vite alors que j’espérais laisser le cauchemar derrière moi, même si je savais que ce ne serait jamais totalement terminé. Autant j’aurais voulu qu’il ait tort, autant je savais qu’il avait raison. Je l’aimais à en crever, mais je préférais encore crever que de retourner vers lui. Il me fallait apprendre à vivre sans lui de nouveau. Et j’ignorais comment j’allais faire, mais il le fallait.

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« J’suis désolé. » J’avais trop souvent entendu cette phrase dans ma vie. Et dernièrement, j’avais trop entendu cette phrase sortir de la bouche de mon meilleur ami, de cette voix pâteuse qui était la sienne lorsqu’il était complètement bourré. J’avais passé les quatre dernières années loin du bureau de la police, loin de cet endroit qui me rappelait beaucoup trop de souvenirs, des souvenirs de Logan que j’avais mis tellement longtemps à mettre derrière moi. Et voilà que j’avais l’impression que l’histoire recommençait. Je savais que Jayce n’allait pas bien depuis que sa petite amie était décédée dernièrement, mais plus le temps allait, pire c’était. Et plus j’essayais d’être là pour lui, de faire ce que je pouvais pour l’aider à surmonter cette épreuve, pour le consoler, plus il semblait me repousser, m’éloigner de sa vie alors que je ne demandais qu’une simple petite place. « Qu’est-ce qui te prend dernièrement Jayce? C’est pas toi ça. Boire tous les soirs, te battre, créer des scènes partout où tu vas. J’te reconnais plus. » Le visage de dégoût qu’il affiche me fait mal au coeur, je sais ce qu’il pense et j’devine parfaitement ce qu’il va dire. Les discours sont toujours les mêmes dans ce genre de situations-là. Je le sais pour l’avoir vécut, tellement souvent auparavant. « Mêles-toi de tes affaires Maryann, et tout va bien aller. » Je perds patience, rapidement. Peut-être trop rapidement même. Je ne lui laisse pas sa chance, pas comme je l’ai fais avec Logan. Parce que je sais que si je n’agis pas rapidement, la situation ne se réglera jamais. Et je laisserais pas Jayce s’autodétruire comme j’ai vu Logan le faire plusieurs années auparavant. Je ne pouvais tout simplement pas assister à ce genre de spectacle une deuxième fois. « Alors quoi? Tu vas m’faire croire que tu vas bien, qu’aller te chercher au commissariat une soirée sur deux, c’est normal? » Je tourne en rond, et il me regarde, de loin. Je le vois qu’il s’approche. Je veux pas qu’il s’approche de moi, pas cette fois. Je recule, il avance. C’est une danse ridicule qu’on continue jusqu’à ce qu’il gagne de l’avance, qu’il s’arrête près de moi. Il me prend la main, comme s’il pensait vraiment que ça allait me calmer ou quoique ce soit. « J’sais pas quoi faire de plus Maryann. J’ai déjà dit que j’étais désolé. » C’est pas assez, tellement loin d’être suffisant. Je lâche sa main, visiblement fâchée et je lui fais face. Mes yeux dans les siens, j’abandonne la partie. Parce que je sais que je suis pas assez forte pour gérer cette situation une fois de plus. Parce que j’en ai pas envie. « J’vais pas faire ça Jayce. Pas une fois de plus. Tu sais ce que j’ai vécu avec Logan, tu sais comment ça a terminé et comment j’étais. Tu sais tout ça, et t’as envie que je recommence à faire la même chose avec toi? » Son regard se veut désolé, mais c’est seulement parce que je ramène des souvenirs douloureux sur la table. C’est lui qui avait du prendre soin de moi après ma séparation avec Logan, lui qui s’était assuré que le jeune homme ne reviendrait pas hanter ma vie, une vie fragile que je reconstruisais lentement sans sa présence. Le regard du jeune Fawkes trouve le sol alors que j’hoche de la tête, retenant les larmes. « Tu sais quoi Jayce? J’pars sans toi. Ça va te faire du bien de marcher, t’aérer les esprits un peu. » Je savais qu’il allait mal, et je me doutais qu’agir comme je le faisais ne lui plaisait sûrement pas. Mais mes mots avaient été inutiles jusqu’à présent, ma présence presque désastreuse sur sa personne. Alors pour ce soir, j’abandonnais. Parce que je savais tout simplement pas quoi faire d’autre.

BIL(........)SON !!!!! I love you

Bienvenue et bonne chance pour ta fiche (a)
Réserve moi un lien, les amis de mon frère sont mes amies maryann ϟ « will you believe in me? » (ended.) 1113388014