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 get your drunk ass outta here. fr. james.

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Etheniel Delweet-Oak

Etheniel Delweet-Oak

♌ PSEUDO : music l.
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♌ ARRIVEE : 29/05/2011


get your drunk ass outta here. fr. james. Vide
MessageSujet: get your drunk ass outta here. fr. james.   get your drunk ass outta here. fr. james. EmptyLun 30 Mai - 13:45

Les rires disparaissaient doucement, comme semblant provenir de plus en plus loin. Deux coups d’œil rapides en direction de la porte d'entrée confirmèrent ses pensées : les derniers clients s'en allaient bruyamment, probablement agacé que le jeune barman qu'il était leur ait refusé une dernière consommation sous prétexte que l'établissement fermait ses portes à deux heures du matin. Surveillant du coin de l’œil la tignasse blonde amorphe de l'autre coté du bar, Ethen nettoya rapidement le comptoir, rangea les bouteilles d'alcool là où elles devaient être et, passant devant son ami pour tourner le verrou de la porte de devant, lui envoya le chiffon qu'il tenait être les mains. « Debout là-dedans. » fit-il, le ton de la voix élevée afin que les mots parviennent aux oreilles - sûrement bouchées par un taux d'alcoolémie dépassant la raison - du James avachi sur son tabouret. D'un geste rapide, la main du jeune homme se posa sur la poignée et il regarda furtivement par la vitre que personne ne restait devant la porte. Puis, alors que le corps qui semblait sans vie s'anima lentement, il attrapa les chaises et les posa une à une sur les tables, afin de faciliter la tâche de la femme de ménage qui passerait le lendemain matin. Lorsque tout fut terminé et à peu près rangé, il s'approcha de son ami. « Tu sais, je n'aurais pas été contre un peu d'aide. » En réaction, James se leva brusquement, un peu trop précipitamment peut-être pour son esprit embrumé par l'alcool ingurgita car il n'eut de force que pour quelques pas hésitants. Le rattrapant de justesse, Ethen se mit à rire. « D'accord, maintenant je comprends pourquoi la pêche a été si mauvaise. » lâcha-t-il finalement en faisant référence aux filles que James avait laissé filer pendant toute la soirée, ce qui ne lui ressemblait pas.

Le quittant de très courtes secondes, après d'être assuré qu'il tenait de façon presque stable sur ses deux pieds, il attrapa les clés de l'établissement et le rejoignit afin de l'aider à sortir. L'air frais de la nuit sembla revigorer James, qui put marcher à peu près convenablement jusqu'à son appartement. Ethen avait insisté pour le raccompagner, comme il l'avait déjà fait plusieurs fois auparavant, lorsque l'habitué voyait double. L'appartement n'était pas loin du bar, seulement à quelques pâtés de maison et ils arrivèrent très rapidement devant l'immeuble. James le devança, il lui emboîta le pas, et il savait qu'il aurait pu le laisser là, mais il restait l'épreuve de la serrure et il n'était pas tout à fait certain que son ami pût être capable de se souvenir à quoi servait une clé. Apprendre, le lendemain matin, qu'il avait dormi sur le palier parce qu'il n'avait pas pu ouvrir la porte de chez lui aurait été une bien triste nouvelle, n'est-ce pas ? Heureusement, l'immeuble avait un ascenseur, quoi que la montée des marches aurait sûrement été d'une drôlerie sans pareil. La petite sonnerie qui retentit leur indiqua qu'ils étaient arrivés au bon étage et, d'un coup d’œil furtif, Ethen s'assura que James marchait sans tituber, sortait la clé de son appartement et s'approchait, surtout de la bonne porte. S'adossant contre le mur adjacent, il observa les mouvements saccadés avec un sourire amusé sur le visage. « Je te jure, la prochaine fois, c'est moi qui bois. » Ou alors, il se rappellerait de prendre une bonne vieille caméra. Oui, ça aussi ce pourrait être drôle.
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James W. Heavinsworth
JAMIEdo you want to play 'Have you met...'?
James W. Heavinsworth

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MessageSujet: Re: get your drunk ass outta here. fr. james.   get your drunk ass outta here. fr. james. EmptySam 4 Juin - 4:15

get your drunk ass outta here. fr. james. Onlysugarcoated0312patt get your drunk ass outta here. fr. james. Rhgs011
E & J

    Il avait bu beaucoup. Beaucoup trop. Les gens, ces clients, aussi buveurs que lui, avaient dû le voir enchaîner bières, Guinness et autres, sans aucune retenue, et se demander ce qu’il lui arrivait.
    Enfin, la cloche sonna une ultime fois. Cette cloche suspendue au dessus de la porte, qui indiquait qu’une ultime fois un client était parti ou arrivé. L’heure devait être tardive, assez pour que le bar demeure désert. Jamie, le regard obstrué par l’alcool ingurgité, rendant sa vue très floue, scrutait la pièce de son regard, tournant le tête de gauche à droite. Il avait vu les derniers clients s’en aller. Il posa sa tête sur le comptoir où il était posé depuis un bon moment déjà puis murmura : « Je suis mal… » La phrase était sortie toute seule. Il était à moitié conscient. A moitié conscient qu’il était dans un fort état d’ébriété. Qu’une fois de plus il s’était ridiculisé devant maintes filles Qu’il avait bien trop bu. Il s’était ridiculisé devant son ami aussi. Etheniel. Un ami fidèle. Au moins, on ne pouvait déplorer que ce barman fasse mal son job. Il était serviable et acceptait toujours de redonner des verres à Jamie. Puis le moment venu il le raccompagnait chez lui, de peur de James eut été trop soûl et se soit pris une voiture en pleine face. Ethen, de son surnom était quelqu’un d’absolument serviable et toujours de bonne humeur. Il n’était pas rare de voir Ethen et James parler, quand ce dernier n’était pas trop soûl, de tout et de rien. Bien sûr, les sujets importants n’étaient que peu abordés. James ne voulait pas ennuyer son ami avec divers problèmes. Il préférait parler à d’autres de ce genre de choses. Avec Etheniel, il s’agissait plus d’une relation de potes. Le barman et son client. L’étudiant et son ami. Il s’agissait d’une belle relation d’amitié certes. Mais pas des plus sérieuses. Il s’agissait plutôt de rire, de s’amuser, de boire quelques verres ou de tenir compagnie à l’autre pendant que l’un s’occupait de son bar ou que l’autre faisait des révisions. Il n’était pas rare de voir James en train d’aider Ethen à ranger le bar, tardivement, pendant les périodes d’examens, les seules où il n’osait pas boire une seule goute d’alcool. A l’inverse, il n’était pas rare de voir Ethen aider son ami à réviser l’histoire de l’Angleterre ou l’économie spécifique.

    « Debout là-dedans. » La voix d’Ethen résonnait dans la tête du jeune homme. Il avait décidément vraiment trop bu. Il entendait les paroles d’Ethen résonner dans sa tête, comme résonne les coups assourdissants d’un marteau quand un mal de crâne vous envahit l’esprit. Il avait mal à la tête. « Pas si fort… » Il ne voulait pas qu’Etheniel parle. Qu’il se taise. Par pitié. Il n’avait envie de d’une chose… Il voulait arrêter d’écouter. Il entendait deux choses : les pas d’Ethen traversant la pièce, rangeant rapidement les chaises et le grincement singulier de ces même chaises, crissant sur le sol, sur ce carrelage si froid. Il avait besoin de froid à l’instant. Il avait chaud. Tellement chaud. Il lui fallait un endroit froid… « J’ai chaud, Ethen. » Il ne réfléchissait plus. Il ne disait plus que ce qui lui passait par la tête. Il aurait aimé un bac de glaçons à l’instant même. Il aurait aimé n’importe quoi qui lui aurait refroidi le corps un tant soit peu. Une fois de plus Ethen passait et repassait devant Jamie, rangeant les chaises, facilitant le travail d’une quelconque femme de ménage, pour le lendemain très certainement, puis s’arrêta devant son ami, l’interpellant. « Tu sais, je n'aurais pas été contre un peu d'aide. » Il parlait mais les mots ne rentraient même pas dans la tête de James. A vrai dire, cette fois-ci la maxime « rentrer par une oreille, et ressortir par l’autre » n’était pas effective. Car les mots que disaient le barman ne rentraient même pas dans ses oreilles. Il les laissait échapper et n’y faisait pas attention. « Bwah… » Ce fut la seule réponse qui sortit de la bouche du jeune étudiant. Il n’arrivait plus rien à dire. Son esprit était trempé dans l’alcool, dans la dose importante, voire trop importante, d’alcool qu’il avait ingurgité pendant la soirée. Il avait commencé par une simple bière. Mais au fur et à mesure que la soirée avançait et que les filles passaient sans grand intérêt pour le beau blond, il avait commandé plusieurs boissons différentes. Allant de la vodka aux cocktails en tout genre en passant par la Guinness, il avait à peu près commandé de tout, payant au passage quelques verres à des amis de passages, qui ne voulurent guère rester, en voyant l‘état de décomposition du jeune homme. Etheniel lui suggéra lui-même d’arrêter les boissons fortes, ce qui rendit James quelques peu agressif. Pour ne pas froisser l’étudiant, qui semblait déjà au bord du coma, il préféra ne pas opposer de résistance, mais ne lui servit, à en juger par le non-aggravement de Jamie, plus aucune boisson à base d’alcool. La soirée avait été fructueuse en alcool pour le bar… Mais la bourse de James y serait sûrement passé. Et les nombreuses conquêtes de la soirée, elles, ne seraient pas restées. De toute manières, elle n’étaient pas restées. Chacune était parti après avoir payé l’addition à Ethen. Et James était resté là, jusqu’à la fin de la soirée, relevant quelques fois la tête pour voir si de nouvelles têtes apparaissaient.

    Il s’était levé. Voulant aider son ami. Même s’il savait éperdument que toutes les chaises avaient été rangées, il avait l’espoir fou, qu’une d’entre elle ne serait pas rangée. Il avait tort. Etheniel connaissait son job comme personne et chaque chaise avait été replacée sur les tables, à son emplacement d’origine. Il s’était levé. Mais, cause de l’alcool ingurgité - encore et toujours - il ne tenait pas debout. Il vacilla, craignant de se casser la figure, rattrapé de justesse par son ami, ce dernier riant aux presque éclats et indiquant : « D'accord, maintenant je comprends pourquoi la pêche a été si mauvaise. » Le barman gardait en main les coudes de James. James quant à lui accrocha ses bras autour du cou de son ami, de peur de vaciller un peu plus. Il ne tenait plus sur ses pieds. Il tenait plus du tout à vrai dire. La référence à la pêche de son ami n’avait cependant pas échappé à James. Il était encore à demi-lucide. Il savait bien que du coin de son comptoir, même s’il se devait de servir les autres clients, le jeune barman avait observé son ami toute la soirée, enchaînant les rencontres, bousculant les gens pour obtenir une place ci ou là. Le jeune homme regardait fixement son ami. Le barman se délivra de son emprise, le laissant deux secondes seul, là, à essayer de tenir sur ses deux pieds. Chancelant une fois de plus, James essaya de se raccrocher le plus vite possible au premier objet assez lourd pour supporter son poids. Se raccrochant au tabouret se trouvant juste à côté de lui, il attendit que son ami, parti chercher les clés du bar. Quand Etheniel revint, clés en main, James murmura une autre bribe de phrase qui était incompréhensible ressemblant à : « Bawhawha. » Il était devenu impossible pour le jeune homme de prononcer la moindre parole. Il devenait impossible pour lui d’ouvrir la bouche, de parler et d’en sortir quelconque son. La dernière parole avait été prononcée dans un effort surhumain. L’alcool était bien plus fort que sa propre conscience. Il fallait en réalité qu’il se repose, qu’il s’allonge quelque part, et tout devrait aller mieux après ça. Une bonne nuit de sommeil en plus et il redeviendrait le Jamie que l’on connaissait bien. Du sommeil. C’était ce dont il manquait cruellement. Il s’était levé le matin-même très tôt, pour pouvoir assister à un cours sur la traduction à l’université et il en était revenu complètement épuisé. Il avait pu se reposer quelques heures l’après-midi mais cela n’avait pas été suffisant. Désormais il s’agissait d’une véritable épave… Un peu comme le Titanic, au moment où l’immense paquebot avait croisé le chemin de ce foutu iceberg. Voyez donc l’iceberg comme la quantité d’alcool et Jamie comme le Titanic qui, après avoir fait collision avec la quantité d’alcool, sombrerait au fond de l’océan - l’océan pouvait être interprété comme son appartement, son lit ou tout autre endroit où James dormirait d’ici les prochaines heures.
    Les deux amis sortirent, James pendu au cou d’Ethen. Quand Ethen avait ouvert la porte, un air frais, un vent très doux était venu se glisser sur les joues rouges du jeune homme. Laissant James sur le côté, le faisant tenir contre un lampadaire, Ethen fermait la porte. James, de ses yeux troublés par l’alcool, voyait le dos du jeune barman. Il attendit, se raccrochant solidement au lampadaire, dont la lumière jaune lui illuminait le visage. Quand Ethen eût tout verrouillé, Il pris le bras de James; même si celui-ci, l’air frais lui ayant vidé la tête, pouvait désormais y voir plus clair, et sentir qu’il ne se sentait pas bien. Ceci dit, par précaution, Etheniel, en bon ami, gardait un des bras du brave blond autour du cou, de peur que celui-ci ne tombe, ne trébuche ou ne se casse la cheville en passant dans un des trous du parvis. Le chemin fut long pour James. Bien que l’appartement de Jamie fut à quelques pas du bar - environ deux pâtés de maison - ce fut un long chemin qu’ils parcoururent ensemble, James soutenu par son ami, pouvant cependant marcher à peu près normalement. Pendant le trajet, ils furent tous deux silencieux, hormis quelques bruits qu’émis le jeune homme, des bruits que même lui n’aurait pu comprendre. La montée des escaliers qui donnaient accès à l’immeuble situé en banlieue fut plus compliquée que l’aurait sûrement jugé Etheniel. James dut s’y reprendre à deux fois aidé et d’Ethen et des rambardes pour accéder à la porte d’entrée. Fort heureusement pour Etheniel et pour James - mais surtout pour Etheniel, qui n’était pas bien épais pour supporter le poids de son ami, sûrement plus gros que lui - l’immeuble était équipé d’un ascenseur, ce qui faciliterait grandement la montée vers l’appartement du jeune homme.

    Il entrèrent dans l’ascenseur. Il était assez petit mais pouvait admettre au minimum deux personnes de poids moyen. Après avoir appuyé sur le bouton d’envoi au dernier étage, Ethan fixa d’un air amusé le visage de James. Celui-ci était adossé à la paroi et se sentait de nouveau mal. Un sentiment, une envie de vomir lui venait. Il essayait de retenir. Sans beaucoup d’efforts, l’envie disparue aussi vite qu’elle était apparue.

    Quand les deux amis quittèrent l’ascenseur, James se retenait à son ami, sorti ses clés, ouvrit doucement la porte. James, toujours en train de se tenir à son ami, rentra. Etheniel, lui resta là, amusé par la situation, à en juger de son sourire moqueur. « Je te jure, la prochaine fois, c'est moi qui bois. » James ne releva pas. Fort heureusement pour lui, l’appartement n’était vraiment pas sale. Il avait rangé la veille tout ce qui pouvait le déranger. Il avait fait ce qu’on appelle un ménage hebdomadaire. En bref, il avait rangé le salon, le bureau, la cuisine et toutes les autres pièces pour qu’elles soient à peu près propres (aussi propres qu’il le pouvait) ainsi qu’il put accueillir une quelconque conquête. Bien que les conquêtes ne se précipitaient pas pour glisser leurs jambes fines dans son lit et dans ses draps.

    James entrait dans la salle à manger, invitait Etheniel à s’asseoir. Lui-même s’effondrait dans le canapé, assez long pour qu’il puisse s’étendre, et assez large pour qu’une deuxième personne vienne l’y rejoindre.
    A vrai dire, au plus profond de lui-même, le jeune homme voulait à tout pris qu’Etheniel vienne le rejoindre. Des sentiments contradictoires. Voilà ce qui l’animait. Il avait toujours vécu dans un cadre d’hétérosexualité profonde. Jamais il n’aurait pensé avoir de sentiments pour un autre homme. C’était un sentiment étrange à vrai dire. Il se demandait bien comment prendre tout ça. Pourtant, si Etheniel - et ceci James en doutait - acceptait de le rejoindre, de l’enlacer et de passer à d’autres choses, peut-être plus sérieuses ce ne serait pas la première fois que James aurait affaire à un homme, à ces sentiments d’amour, de besoin physique au pire des cas. La première fois avait eu lieu bien longtemps auparavant. Dans cette grande maison, cette immense maison d’Albuquerque. Ici-même, dans cette même ville. Cela s’était passé un an et demi auparavant. Prim avait été l’instigateur de l’acte. Il l’avait initié en quelques sortes. Et à vrai dire, James n’avait pas été insensible aux charmes du beau Prim. Ils étaient amis. Mais désormais ils seraient plus que de simples amis. Après cet acte passionné, plein de tendresse, ils resteraient en contact, sexuellement parlant, pendant de nombreuses nuits. Ceci dit, Prim n’était pas du genre à s’attacher… Il jetait donc Jamie à chaque fois. Et Jamie s’en contentait bien. Il s’en satisfaisait. Il le fallait bien de tout manière.
    Loin de Prim et de son je-m’en-foutisme, Jamie pensait toujours à Ethen, qu’il regardait avec insistance. Très certainement, Ethen voudrait dormir un peu. James proposa alors. « Tu veux dormir? Dans ma chambre, il y aura toute la place nécessaire. » C’était une légère insinuation. James espérait qu’il l’ai saisie. Une simple insinuation.

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